Ça fait aussi partie de la démocratie, faut avoir la peau épaisse, il faut être capable, puis moi je le vis à tous les jours, il faut être capable de faire la différence quand tu es une personnalité publique, entre ton personnage public et la personne que tu es vraiment, l’individu que tu es dans ta vie.
Éric Duhaime
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Ils sont tu là pour servir la population, ou ils veulent représenter des écolos de Montréal? On serait prêts à doubler le prix même si ça coûte deux fois plus cher à condition que ce soit juste du transport en commun.
– Quel est ton message à envoyer à quelqu’un qui veut voter PQ? qui est en faveur du 3e lien.
– Sauvez-vous du PQ. C’est pas compliqué, il y a un parti politique sur les cinq qui est en faveur d’un pont, qui l’a toujours été, c’est le Parti conservateur du Québec. La CAQ, on peut pas le fier sur eux, on s’est fiés on a essayé trois fois, vous avez vu comment ça virevent là. -
Moi je ne vais pas personnaliser le débat, mais c’est certainement le positionnement politique le plus radical du Parti québécois qu’on a vu de notre vivant.
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Il ne faut pas montrer de la vulnérabilité quand on est une personnalité publique. Évidemment, nous sommes des êtres humains. C’est sûr que ça nous affecte. Cela étant dit, la dernière chose qu’il faut faire, je crois, c’est de démontrer aux gens qui nous attaquent que ça a un impact sur nous. […] Je pense qu’il faut démontrer qu’on est fort, qu’il faut continuer, qu’il ne faut pas les écouter, qu’il ne faut pas prêter flanc à ces gens-là. Il faut faire abstraction.
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Comment ça se fait qu’aujourd’hui, il y aurait 6, 7, 8 fois plus de gays dans les écoles que ma génération? Faut qu’on se pose des questions. Qu’est-ce qui s’est passé? Comment ça se fait que ça a aussi explosé? Je ne sais pas ce qui se passe, mais de toute évidence, il y a quelque chose. La nature ne s’est pas trompée plus qu’il y a 20 ans.
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Ils appellent même ça un modèle québécois, pour nous ce n’est pas un modèle et ce n’est pas québécois. Si c’était un modèle, il y a d’autres mondes qui le reproduiraient et si c’était québécois, ce n’est pas comme ça que nos ancêtres ont construit le Québec et la prospérité qu’on a.
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C’est sûr que le contribuable qui nous écoute, que ça fait trois ans qu’il attend sur une liste d’attente, qu’il voit un immigrant et qu’on lui dit « il va passer en avant de ta fille », de ton gars, je le comprends d’être enragé. Il paye des taxes comme un singe, pis ce gars-là se fait dire qu’il y a quelqu’un qui n’a jamais payé une cenne qui va passer en avant de toi.
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QS, c’est les gradués de l’UQAM, des fois, souvent, pis j’ai l’impression que c’est la même version anglophone qui sort de Concordia, qui est devenue le Parti libéral du Québec. Et s’il y a une fusion à y avoir entre deux partis présentement, je vois les mamours que Québec solidaire et le Parti québécois se font, je pense que c’est plus de ce côté-là qu’il faudrait regarder.
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Jamais elle n’attaque la thèse, pis elle parle du fond. Elle donne cinq exemples pour essayer de détruire, dans le fond, la crédibilité de Mathieu Bock-Côté. Ce n’est pas une critique de son essai qu’elle fait. C’est une vérification des faits avec son biais idéologique woke à elle.
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– Le regrettes-tu d’avoir dit que tu prenais ta douche avec tes parents?
– Non. Non, parce que c’est vrai. Je veux dire, je n’ai pas… Regarde, je suis comme je suis. Je veux dire, si vous n’aimez pas ça, allez ailleurs. Je veux dire, moi, je ne changerai pas et je ne travestirai pas ma réalité pour faire plaisir politiquement au monde. Tsé, tu es dans un camping, ton père t’amène. C’est comme les gars qui nous écoutent, qui prennent leur douche ensemble après un match de hockey.