– Si le Québec devient le souverain de l’avenir du français serait assuré 53% pour le oui chez les francophones. Évidemment on comprend que c’est les premiers concernés par l’avenir du français. Les options sont claires, la progression de l’opinion publique sur cette question est fulgurante.
– Il parle de l’opinion publique, mais il regarde juste toujours, il regarde, le chiffre des francophones. Les autres Québécois ils comptent pas. […]
– Ça me fait peur. Ça me fait peur. […]
– Kim Tuy, elle compte pas? Laferrière, elle compte pas. Arcade Fire, c’est pas vraiment des Québécois. Oui. Matheson des Canadiens, c’est pas vraiment un Québécois. C’est un demi-Québécois. […] J’entends en arrière, il y a une petite voix. Mais… C’est dans ma tête. Êtes-vous un aryen? Oh! On veut pas aller là. […] C’est un glissement qui est pas le fun. Non. L’échelle des races. Oh! Il y en a un qui avait un drôle de pinch. C’était pas Symphorien, qui a fait une échelle. Je veux pas aller là-dedans. C’est pas ça mon Québec.
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– C’est parce qu’aux dernières nouvelles, les Québécois, ils en consomment beaucoup du pétrole, là! Pis ils veulent! C’est pas parce qu’ils sont obligés, c’est parce que c’est leur choix.
– Oui. La madame avec le gros nez de QS est plus là, mais elle chauffe un F-150, là. Oui! -
– N’en déplaise à certaines personnes, les routes, elles existent et il faut les entretenir aussi. Et ça, c’est un poste de dépense très important auquel le gouvernement fédéral, rappelons que le fédéral aussi, se désengage beaucoup dans le transport.
– Moi, en voyant que le maire de Québec était contre les routes, j’avoue que j’ai été surpris d’apprendre hier qu’Ameublement Tanguay dans la région de Québec livrait ses meubles en bécique. -
– Oui, j’en achète des nouveaux presque à toutes les trois semaines. Parce que j’ai oublié d’apporter mes sacs, donc j’en ai beaucoup acheté.
– Ça doit vous coûter cher.
– Tous les sacs de plastique que j’ai achetés depuis un an, je suis surpris de voir combien de sacs à usage unique on aurait pu produire avec ce même plastique-là. Et ces sacs de plastique jetable, moi je m’en servais, j’ai des chats, je vous dirai pas ce que je faisais avec, on les réutilisait à la maison une deuxième fois. -
Au lieu de faire semblant, de protéger notre conscience, de dire on a la conscience tranquille, on ne prend plus de pailles en plastique, ou on ne prend plus de sacs en plastique dans les épiceries, dans les pharmacies, pis on sort avec tous les produits qu’on achète dans nos mains et on en échappe trois, quatre par terre, on peut-tu faire des choses qui vont faire une vraie différence? […] Moi, je pense que la solution est beaucoup plus comment est-ce qu’on peut faire pour aider les gens à boire un bon Coke ou un bon Pepsi ou une bonne eau avec la paille qu’il désire et trouver une façon de recycler tout ça.
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– Ben, tsé, on va changer, là. Au lieu de S.A.Q., Société des alcools du Québec, on dirait Société des alcools du c’était des souliers du Québec. On dirait, si tu veux t’acheter des souliers, des bons souliers, il faut que t’ailles dans un commerce qui appartient au gouvernement, puis dans les dépanneurs t’aurais seulement des gougounes, mettons, pis des crocs, pis c’est tout. Les gens diraient, ben ça a pas de bon sens, qu’est-ce que fait le gouvernement dans le au détail parce que c’est ça, là.
– Ben oui, c’est ça que c’est. -
– Ça semble encore assez facile de déjouer le système.
– Ben, il reste un petit 10% de petits crottés là, M. Arcand, là, ils sont encore là. -
Il n’y a aucune vision qui émane présentement de cette ministre-là par rapport au transport collectif. […] Elle ne présente aucune vision et c’est hyper décevant. Et ça nous ramène dans les années 60, un ministère de la mobilité durable qui est là, elle-même nommée mobilité durable, pour lequel on se dit qu’il y a juste des routes qui nous concernent. Selon moi, là, on revient au temps d’une paix pis Joseph Arthur.
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Gérer le transport collectif, les sociétés de transport, c’est pas une mission de l’État. […] On a déposé un budget avec un déficit de 11 milliards. parce qu’on a choisi de payer plus les profs et les infirmières, notamment dans le réseau de la santé. Et nous, on n’a pas le luxe de refiler nos déficits ailleurs. Alors je pense que chacun, comme j’aime bien dire, doit gérer sa fougère.
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J’ai pas l’intention d’être effacée sur la place publique. Je trouve ça offensant au plus au point de prétendre qu’il n’y a pas une communauté d’anglophone. Premièrement, ce sont des anglophones qui ont bâti cette province. Et y’a deux peuple qui ont fondé le pays du Canada. Deux peuples. Vous voulez effacer la présence des anglophones ici