Avez-vous vu ça, pauvre François Legault, même avec ses lunettes il était complètement perdu dans ses dossiers. Pis quand il se faisait attaquer, il faisait sa petite face. Non mais c’est comme s’il embrassait sa soeur dans le vide.
Anne Casabonne
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Tsé le progressisme, on peut progresser vers la destruction aussi. Tsé ma mère quand elle s’est fait analyser son cancer, le médecin lui a dit: madame, votre cancer progresse. Ben pour moi le progrès, je vois ça comme un cancer.
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Faut prendre en considération que ce choix-là est fait par rapport à un acte médical irréversible.
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– Je sais pas si Anne tu as vu ce qui se passait là-dessus, qu’il y a de plus en plus de restaurateurs qui sont en train de se mobiliser un peu partout, mais c’est assez inquiétant là.
– Ben là ça me fait encore brailler!
– Ben voyons, pleure pas.
– Mais c’est parce que c’est les économies d’une vie. Il ne comprend rien lui le gros là. Excuse moi! Oh mon Dieu.
– Non non dis pas ça. Sois polie. Monsieur Legault. –
Monsieur Legault, excusez-moi. -
– Les vrais complotistes, vous pensez quoi de ces gens-là, les Alexis Cossette-Trudel de ce monde par exemple, les Amélie Paul de ce monde. Votre opinion sur ces gens-là et leur discours, c’est quoi?
– Ben là, jusqu’à date, y’a une affaire complotiste qu’ils ont dit qui s’avérait vraie. Que ça venait, que c’est un, comment t’appelle ça, un virus qui avait été fabriqué par l’homme et non pas… on verra pour le reste là. -
Tsé moi dans ma vie, j’ai jamais demandé à personne: es-tu vacciné contre la variole, et lui refuser de venir chez moi parce qu’il l’était pas. […] Ça fait partie du secret médical. C’est comme si je vous demandais: êtes-vous circoncis? Ç’a pas de bon sens.
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– Pourquoi de la censure Mme Casabonne. Censure c’est un mot quand même assez fort. C’est d’empêcher quelqu’un de parler.
– C’est ça, mais je parle au niveau familial, au niveau social, au niveau amical ou quoi que ce soit. Chaque fois qu’on posait des questions sur les masques par exemple, on se faisait dire ta yeule, mets-le pis c’est ça, ça finit là. -
Souvenez-vous au début de la crise, M. Fitzgibbon a dit que nos données médicales étaient une mine d’or. Il voulait ouvrir les valves de nos données médicales. Alors moi je pense que c’est un pied dans la porte à ça. Il a pas dit à qui irait la mine d’or, mais il a l’air de les connaître.
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T’as vraiment l’impression que tout le monde est assis dans la même moissonneuse batteuse des droits. Pis qu’il y a pu personne qui remet rien en question.
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Alors donc, le 30 septembre, on pouvait se côtoyer, les vaccinés pouvaient côtoyer les non-vaccinés. Et puis le lendemain c’était devenu la donne à suivre. Alors qu’il n’y a pas de science, y’a rien de scientiquement épidémiologique là-dedans.