Les libéraux parlent toujours, beaucoup, de commerce. Mais les gestes ne suivent jamais. Comme on dit parfois au Québec: grosse annonce, ptit magasin.
Stephen Harper, qui parle québécois

Les libéraux parlent toujours, beaucoup, de commerce. Mais les gestes ne suivent jamais. Comme on dit parfois au Québec: grosse annonce, ptit magasin.
– Y’a des gens dans votre parti qui sont très critiques à l’endroit des médias sur la colline parlementaire à Ottawa. Est-ce que les médias Québécois vous rendent justice?– Tu sais très bien, ce n’est pas un...
Évidemment, à ma part, je suis bien désolé, je suis bien frustré, je suis bien fâché. J’ai toute la gamme des émotions.
Des fois quand je regarde l’opposition, il m’arrive de penser que Maurice Duplessis avait raison quand il a dit : deux partis c’est assez; un bon et un mauvais.
Tantôt, dans sa ville natale de Trois-Rivières, j’ai dit que des fois quand je regarde l’opposition, il m’arrive de penser que Maurice Duplessis avait raison quand il a dit : « Deux partis c’est...
Les libéraux parlent toujours, beaucoup, de commerce. Mais les gestes ne suivent jamais. Comme on dit parfois au Québec: grosse annonce, ptit magasin.
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Exactement comme tout le tapage que le Régime Harper fait avec son plan d’action économique.