

Du même "auteur"...
Stephen Harper, émotif
Évidemment, à ma part, je suis bien désolé, je suis bien frustré, je suis bien fâché. J’ai toute la gamme des émotions.
Stephen Harper, qui connait ses classiques
Tantôt, dans sa ville natale de Trois-Rivières, j’ai dit que des fois quand je regarde l’opposition, il m’arrive de penser que Maurice Duplessis avait raison quand il a dit : “Deux partis...
Stephen Harper, qui pense connaître une expression Québécoise
Les libéraux parlent toujours, beaucoup, de commerce. Mais les gestes ne suivent jamais. Comme on dit parfois au Québec: grosse annonce, ptit magasin.
Stephen Harper, qui cite Maurice Duplessis
Des fois quand je regarde l’opposition, il m’arrive de penser que Maurice Duplessis avait raison quand il a dit : deux partis c’est assez; un bon et un mauvais.
Stephen Harper, qui parle québécois
Les libéraux parlent toujours, beaucoup, de commerce. Mais les gestes ne suivent jamais. Comme on dit parfois au Québec: grosse annonce, ptit magasin.
Stephen Harper, à propos des médias
– Y’a des gens dans votre parti qui sont très critiques à l’endroit des médias sur la colline parlementaire à Ottawa. Est-ce que les médias Québécois vous rendent justice?– Tu sais très bien, ce n’est pas un...
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Lise Ravary, à propos des “wokes”
Reynald Du Berger, cancellé par Radio X
Bernard Drainville, à une syllabe près
Adrien Pouliot, à propos de ceux qui se servent de la pandémie
Le Sportnographe
- Mario Tremblay, qui a un tour de reinsAlors là maintenant, comme Guillaume a dit tantôt, ça va être à lui Dominique de prendre les reins et de les tenir bien serrés.
- Bruno Gervais, à propos des joueurs qui retournent aux étudesOn a vu Alexandre Alain prendre sa retraite du hockey et s’en aller dans une autre direction. Il l’avait vu venir. Y’était dans une situation avec une tête sur les épaules.
- Philip Danault, songeurD’habitude, quand je pense pas, c’est là que je suis à mon meilleur. Pis je pensais un petit peu trop.
- Claude Julien, qui trouve peut-être que ça ne sent pas juste la coupe dans le vestiaireComme je l’ai mentionné en anglais, il avait des symptômes de flu. Pis par précaution on l’a envoyé chez lui.
- Serge Savard, qui abuse de la lettre KRappelez-vous, voilà deux trois ans, on avait pas de centres. Et aujourd’hui on a Suzuki pis KKK. C’est nos deux centres d’avenir.
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