Richard Martineau, qui explique son travail

Ça cet exercice-là, tous les couples au Québec sont en train de le faire. Moi je l’ai fait avec ma blonde. On coupe ça, on coupe telle affaire, la femme de ménage elle viendra plus, on coupe les abonnements à tels...
Tu dis que y’a quelque chose qui tourne pas rond dans l’islam, peut-être, t’es raciste. Tout le monde te pointe du doigt: raciste xénophobe. Qui aime se faire traiter de raciste? Personne, fak tu prends ton trou pis tu...
Je fais toujours lire mes chroniques à ma blonde avant de les envoyer. Tout le temps, tout le temps. Je veux avoir une lectrice indépendante.
Écoutez, bientôt on pourra plus dire je suis allé au cinéma et j’ai attendu en file indienne, racisme. Eille le caucus du PQ, méchant pow-wow, raciste. Les caquistes et les libéraux ont fumé le calumet de la paix...
On l’a invité à venir ici pis à s’excuser publiquement, pis elle a refusé. Quelle tarte quand même.
Sa politique avec les environnementaux, encore, c’est du flash, c’est du look, alors qu’il est pas si environnemental que ça. Tout ça c’est du flake comme on dit en anglais.
[…] Bizarrement, le steak comme métaphore semble être à la mode par les temps qui courent. Son ex-collègue des Franc-tireurs, Richard Martineau, expliquait son travail ainsi, il y a quelques semaines: […]