Pierre-Karl Péladeau, à propos du PLQ

À quoi bon accueillir ceux et celles qui ont décidé de venir ici au pays si le cas échéant, on est pas en mesure de leur procurer un, d’une part, une structure de francisation pis surtout et avant tout un travail. Parce...
Comment vous réagissez quand vous vous faites planter dans le Journal de Québec? De Montréal?– Bin là, je me fais pas nécessairement planter.
Le pire investissement qu’une collectivité peut faire, c’est son désinvestissement à l’endroit de son éducation.
Elle travaille fort. Je pense qu’en politique, vous savez parce que vous aussi vous êtes logés à la même enseigne, c’est 375 jours par année hein.
Écoutez, sur cette question, j’ai été clair net et précis et je ne reviendrai pas là-dessus. Ce que j’ai dit, je l’ai fait et ce que j’ai dit, je ne l’ai pas fait, donc là-dessus là, c’est terminé.
“Faut se replacer tsé. Dans les années 2000, pis en 1995, c’est comme à l’époque ne pas mettre sa ceinture de sécurité dans une voiture: y’avait pas de problèmatique. Aujourd’hui, les choses ont bien évolué.”
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