Certes, ma liberté s’arrête là où débute celle de l’autre. Mais où s’arrête la liberté de l’autre pour que débute la mienne ? Chose certaine, respecter la liberté d’autrui n’implique en aucun cas l’abnégation de soi. Et comme l’histoire a montré que la liberté n’est jamais acquise, et encore moins inaliénable, il est insuffisant d’affirmer que nous sommes libres pour l’être réellement. Il faut inlassablement défendre ce bel idéal.
Vers un printemps canadien?
5 commentaires
QUOI !!! Une journaliste qui défend les droits et liberté ! dans le journal du parti unique en plus ! elle vit sur du temps empruntée, Qu’on la renvoie dans son pays la maudîtes capitaliste ou au pire dans un camp de redressement comme notre modèle politique, la Chine
Précision: ce n’est pas une journaliste.
Ouin ! Je sais mon erreur …en plus le journal de Montréal c’est pas un journal non plus. J’ai honte
Ce n’est pas parce que vous vous appelez Roy que vous êtes un roi.
Ce n’est pas parce que vous vous appelez Niquet que vous m’avez niqué. Sans rancunes.