Certes, en Occident, l’élite n’a pas les mêmes préoccupations que celles des pays pauvres, comme le Maroc. Ici, elle mobilise ses ressources à des enjeux « essentiels ». Elle cogite notamment sur comment massacrer le français avec l’écriture épicène, alourdir la bureaucratie, gonfler la dette ou inventer des réglementations ubuesques et paralysantes. Et nous, on étouffe l’éducation et l’expression avec la cancel culture. On se complaît dans l’autodétestation et dans des discussions byzantines sur le sexe des anges. Le résultat ? Le déclin tranquille d’une civilisation.
C’est le déclin tranquille de notre civilisation